Thank you for your love.

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Il est 1h00 du matin, le sommeil me fuit. Et si j'essayais d'écrire un petit article ? Histoire de me remettre dans la peau d'une bloggeuse. Je n'sais par où commencer. Si ce n'est que parfois on a l'impression que tout va mal. Positiver. Positivons. Allons de l'avant. Toujours tout sourire. Difficile. J'écoute Om du möter varg - Detekivbyran. Je cherche mes mots. Je l'aimais de Gavalda en lecture actuelle. Ça se voit à des milliers de kilomètres ce qu'il va se passer. Bien désormais, il me faut fixer des objectifs pour ne pas tomber dans le mal. Oui, dans le mal. On attend que l'autre arrive. Et puis rien. J'étais bien il y a quelques années de cela. Je suis bien maintenant. Enfin, je ne sais pas.

Des idées fusent, encore et encore, tu sais comme par exemple, fabriquer ses propres vêtements, dessiner des croquis de mode, changer la peinture de ma chambre, passer des heures sur ce foutu piano que je déteste temps et me persuader qu'il me reste quelque chose de mes neuves années de piano. Me rechercher un p'tit boulot, me persuader qu'il est possible d'économiser. De passer un week-end à Montpellier et puis voir ma famille de Bordeaux. Bosser mes cours, même faire des exercices en plus, c'est en bossant qu'on y arrive d'après ce qu'on dit. Je confirme. Ah oui, et puis me trouver un stage pour la fin de l'année. J'ai pas mal de projets, le fait est que de m'y mettre m'évitera alors de penser à ce mal. Et cette remise en question perpétuelle et agaçante.

Passer des heures à se remettre en questions et puis rien. Peut-on changer ? J'essayerai. Oui.

J'espère ne pas délaisser mon blog. Je me le promets. Je vous le promet.

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